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Littérature de science-fiction

Contenu:
ASIMOV Isaac







Fondation

Trantor, le centre et le symbôle d'un empire galactique immense et puissant mais corrompu et décadent. Hari Seldon l'avait bien compris. Gràce à la psychohistoire, il savait que les jours de l'empire étaient comptés. Alors il a patiemment préparé son remplacement en créant la "Fondation", une nouvelle société embryonnaire qui attend son heure. Le chemin sera long et difficile, mais Seldon est convaincu que son avènement est inéluctable. Aujourd'hui, Seldon est mort, et son testament pourrait bien faire vivre ses incroyables prophéties.

Critique : remarquablement construit, un monument de géopolitique à l'échelle de l'univers****








Fondation et empire

Qui est ce nouveau conquérant surnommé le Mulet ? Personne ne peut se vanter de l'avoir vu, mais personne non plus ne peut prétendre échapper à son pouvoir. En cette année 12866 il a conquis presque toutes les planètes de la Galaxie. Cependant, il reste invisible. Agents secrets, savants, militaires, sont incapables de le découvrir. Pourquoi se cache-t-il ?

Critique : 2ème opus de la série, dans la lignée du premier en moins passionnant****








Seconde fondation

25 millions de planètes habitées... et dans ce gigantesque amas galactique, une planète élue, qui pourrait sauver la civilisation, la Seconde Fondation. Mais où se trouve-t-elle ? D'éminents savants l'ont en vain chercher... une enfant de quatorze ans saura-t-elle la découvrir ?

Critique : dernier volet, réussi, de la trilogie initiale****








Un défilé de robots

Un robot prévu pour l'environnement lunaire ne peut-il être dangereux sur Terre en raison de sa programmation même ? Un autre ne peut-il nuire aux humains en croyant les protéger ? Est-il concevable de risquer la vie d'un homme pour sauver l'existence d'un robot prototype, d'un fabuleux prix de revient ? C'est à de tels problèmes que Susan Calvin va être confrontée ?

Critique : quelques nouvelles sur le thème des "robots", quelque peu lassant****








Les cavernes d'acier
Les cavernes d'acier sont les villes souterraines du futur. Là, bien que privés d'air et de lumière naturels, des millions d'hommes vivent à un rythme étourdissant. Malgré une civilisation super-scientifiques et l'appartition de robots intelligents, les passions humaines n'ont pas cessé pour autant et le meurtre n'a pas disparu. Mais le problème de Lije Baley n'est pas seulement de retrouver un meurtrier, il est aussi d'y parvenir avant son collègue R. Daneel, un androide au cerveau électronique ultra-perfectionné, créé certes par l'homme, mais qui n'attend peut-être que l'occasion de prendre sa place.

Critique : excellent roman entre polar et SF, le premier de la série des "robots"****








La voie martienne

Forer des nuages... Confier son destin à un adolescent-computer... Déplacer tout un peuple à travers l'espace par téléportation... Dans une grange, Carotte et Moustique ont caché deux petits animaux inconnus, capturés à l'aube. Tandis que leurs pères attendent - vainement - l'arrivée de deux créatures venues d'une lointaine planète.

Critique : un recueil de nouvelles d'inégales qualités****









L'avenir commence demain

Tous les ennuis du monde est l'histoire tragique d'un ordinateur géant, Multivac, qui, découvre un jour la difficulté d'être. L'affreux petit garçon nous introduit avec un art subtil dans un monde de terreur où un jeune enfant arraché aux temps obscurs de notre préhistoire est devenu le cobaye d'une impitoyable expérience scientifique.

Critique : ensemble assez moyen****









Face aux feux du soleil

C'est sur la lointaine planète Solaria que Elijah Baley et R. Daneel vont devoir exercer leur talent. Sur ce monde, les hommes n'acceptent plus de se rencontrer physiquement mais se visionnent gràce à des projections télévisées. Or un meurtre a été commis, un meurtre apparamment impossible puisque aucun Solarien n'aurait eu la force nerveuse suffisante pour s'approcher d'un de ses compatriotes. Qui plus est, un robot semble impliqué, ce qui est absurde, puisque les lois de la robotique leur interdisent de causer le moindre tort aux hommes.

Critique : bonne suite des "Cavernes d'acier"****