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Nuit d'été
- Les pensionnaires d'un internat de l'Illinois sont les témoins d'une série d'événements mystérieux et terrifiants : l'un d'entre eux disparait, des bruits incompréhensibles se font entendre, un soldat de la première guerre mondiale réapparait. L'enquète, menée par un petit groupe de collégiens va les mener
vers les bâtiments gothiques d'une ancienne école abandonnée. Et c'est au coeur de l'été, le plus insoutenable des face-à-face qui commence : celui qui met aux prises l'innocence avec la plus monstrueuses terreur qu'on puisse imaginer.
Critique : bon roman, cela commence comme le club des cinq et finit comme un roman de Lovecraft****
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Les fils des ténèbres
- Jeune et brillante hématologiste américaine, Kate Neuman débarque à Bucarest afin de se consacrer aux orphelins atteints du sida. Là, elle découvre l'étrange cas d'un bébé, Joshua, qui, à chaque transfusion, développe pendant un court laps de temps une formidable résistance à la maladie.
Kate ne se doute pas encore que le cas Joshua l'aménera à s'aventurer dans les mystères d'un pays encore marqué par les légendes du terrible Vlad Tepes, dont la férocité légendaire n'eut d'égale que celle du dictateur Ceausescu, fusillé peu de temps plus tôt.
Critique : trés bon roman fantastique****
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L'homme nu
- Et si la solitude devenait impossible ? Si un jour nous ne pouvions plus nous isoler, fermer notre conscience ? Si les pensées, les désirs, les pulsions des autres nous envahissaient à chaque minute. Bremen, un mathématicien, a ce terrible pouvoir. Longtemps, son union avec
sa femme, comme lui télépathe, lui a servi de bouclier. Mais elle meurt d'un cancer et le voilà seul dans le chaos, livré à la neuro-rumeur du monde. Dans le sillage d'un crime dont il est le témoin, Bremen va vivre la plus effrayante odyssée à travers les ténèbres de la société et de l'homme.
Critique : romantique et sombre, un trés beau roman****
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Hypérion
- Quand les sept pélerins se posent à Hypérion, le port spatial offre un spectacle de fin du monde. Des millions de personnes s'entassent derrière les grilles : les habitants de la planète sont sûrs que le gritche va venir les prendre et ils veulent fuir.
Et tout ce que le gouvernement a trouvé, c'est d'envoyer les sept pélerins. La présidente leur a dit d'emnblée "Il est essentiel que les secrets des Tombeaux du Temps soient percés. C'est notre dernière chance." Mais les pélerins n'y comprennent rien : c'est tout simple, ils ne se connaissent même pas entre eux.
Critique : le chef d'oeuvre ultime de Simmons, émouvant, poétique, intelligent, terrifiant, épique, et j'en passe ****
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Le chant de Kali
- Robert Luczak est envoyé à Calcutta par sa maison d'édition pour récupérer le mystérieux manuscrit d'un poète que tous croyaient mort depuis huit ans. Mission simple en apparence, mais qui prend des allures de descente aux enfers dés lors que son chemin croise celui des Kapalikas, secte vouée à l'adoration de la
meurtrière Kali dont les membres font régner la terreur sur la ville. Sacrifices humains, cadavres ressuscités, meurtres en pagaille... Luczak comprendra- mais trop tard- que rien n'arrête le chant macabre de Kali.
Critique : le premier roman de Simmons et déjà un talent unique pour distiller l'angoisse****
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Terreur
- Vétéran de l'exploration polaire, Sir John Franklin se déclare certain de percer le mystère du passage du Nord-Ouest. Mais l'équipée, mal préparée, toune court : le Grand Nord referme ses glaces sur Erebus et Terror, les deux navires
de la Marine Royale anglaise commandée sir John. Tenaillés par le froid et la faim, les cent vingt-neuf hommes de l'expédition se retrouvent pris au piège des ténèbres arctiques. L'équipage est, en outre, en butte aux assauts d'une sorte d'ours polaire à l'aspect prodigieux, qui transforme la vie à bord en cauchemar éveillé. Quel lien
unit cette "chose des glaces" à Lady Silence, jeune inuit à la langue coupée et passagère clandestine du Terror ?
Critique : un retour réussi de l'auteur au fantastique. Un livre terrifiant .. comme son titre l'indique.****
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